Les banques ont développé des solutions bancaires en fonction de votre profil.
L’ouverture de ce compte professionnel vous permettra de distinguer les opérations que vous effectuez dans le cadre privé du cadre professionnel. Par ailleurs, vous pourrez communiquer vos coordonnées bancaires professionnelles et garder en sécurité celles de votre compte courant privé. Aucune confusion possible, donc. Vous n’êtes pas obligé de choisir la banque où vous avez souscrit votre compte courant privé. Seulement, pour les opérations comptables ou de virement, ce sera beaucoup plus facile, et parfois moins coûteux… À vous de voir l’utilisation que vous en ferez.
Comparatif comptes courants
Si une banque refuse de vous ouvrir un compte en banque professionnel – et c’est son droit ! -, vous avez toujours moyen d’exercer votre « droit au compte », tel qu’il est défini dans le Code monétaire et financier. Munissez-vous des justificatifs de refus et présentez-vous à une agence de la Banque de France. Elle vous désignera alors une banque qui sera tenue d’ouvrir un compte pour vous. Vous aurez alors accès au service bancaire de base. Ce dernier est gratuit et vous assure l’ouverture d’un compte, la réalisation d’encaissements et de décaissements ainsi qu’une carte de paiement qui ne fonctionnera que sous condition d’autorisation de votre banque.
Lors de votre souscription, votre banque vous demandera des justificatifs. Si vous êtes artisan, n’oubliez pas l’immatriculation au Répertoire des Métiers, ou l’extrait Kbis si vous emplioyez plus de 10 salariés. Si vous avez monté votre société, justifiez les statuts de la société, la copie de l’annonce légale, ainsi que l’extrait Kbis. Les professions libérales devront, quant à elles, se munir de leur numéro SIREN et du code APE.
Comparatif comptes courants
Une fois armés de tous ces justificatifs, rendez-vous dans l’agence choisie afin de procéder à l’ouverture de votre compte. Une convention de compte professionnel vous sera alors remise. Elle contient toutes les informations nécessaires au bon fonctionnement de votre compte. Conservez-là bien précieusement car c’est un document officiel en cas recours devant la justice si litige il y a avec votre banque.
Un nouveau dialogue s’ouvre entre vous et votre banque. C’est un dialogue de professionnel à professionnel. Le dialogue et la communication sont donc de rigueur. Fournissez le plus régulièrement possible les informations nécessaires à votre banque, par exemple vos comptes de résultat, ou les éléments d’appréciation sur votre situation comptable. Elle doit comprendre le plus précisément la vie de votre entreprise ou de votre activité. Vous pouvez même l’informer de vos projets. Elle pourra vous soutenir, vous conseiller, voire vous prêter de l’argent pour des investissements.
Comparatif comptes courants
Parmi les services bancaires proposés dans le cadre d’un compte professionnel, dans la plupart des cas, vous choisirez uniquement les services dont vous avez besoin. Relevé de compte magnétique, offre de lettre-chèque, offre de virements en volume… Les options sont nombreuses avec notamment l’utilisation du chèque-emploi Très petites entreprises (TPE) qui vise à simplifier les formalités à l’emploi dans les entreprises de moins de 6 salariés. Pas de contrat de travail à rédiger, pas de bulletin de paie ni de calcul des cotisations à effectuer, le centre gestionnaire s’en occupe pour vous gratuitement.
http://comptebancairenonresident.com/
L’ouverture de ce compte professionnel vous permettra de distinguer les opérations que vous effectuez dans le cadre privé du cadre professionnel. Par ailleurs, vous pourrez communiquer vos coordonnées bancaires professionnelles et garder en sécurité celles de votre compte courant privé. Aucune confusion possible, donc. Vous n’êtes pas obligé de choisir la banque où vous avez souscrit votre compte courant privé. Seulement, pour les opérations comptables ou de virement, ce sera beaucoup plus facile, et parfois moins coûteux… À vous de voir l’utilisation que vous en ferez.
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Si une banque refuse de vous ouvrir un compte en banque professionnel – et c’est son droit ! -, vous avez toujours moyen d’exercer votre « droit au compte », tel qu’il est défini dans le Code monétaire et financier. Munissez-vous des justificatifs de refus et présentez-vous à une agence de la Banque de France. Elle vous désignera alors une banque qui sera tenue d’ouvrir un compte pour vous. Vous aurez alors accès au service bancaire de base. Ce dernier est gratuit et vous assure l’ouverture d’un compte, la réalisation d’encaissements et de décaissements ainsi qu’une carte de paiement qui ne fonctionnera que sous condition d’autorisation de votre banque.
Lors de votre souscription, votre banque vous demandera des justificatifs. Si vous êtes artisan, n’oubliez pas l’immatriculation au Répertoire des Métiers, ou l’extrait Kbis si vous emplioyez plus de 10 salariés. Si vous avez monté votre société, justifiez les statuts de la société, la copie de l’annonce légale, ainsi que l’extrait Kbis. Les professions libérales devront, quant à elles, se munir de leur numéro SIREN et du code APE.
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Une fois armés de tous ces justificatifs, rendez-vous dans l’agence choisie afin de procéder à l’ouverture de votre compte. Une convention de compte professionnel vous sera alors remise. Elle contient toutes les informations nécessaires au bon fonctionnement de votre compte. Conservez-là bien précieusement car c’est un document officiel en cas recours devant la justice si litige il y a avec votre banque.
Un nouveau dialogue s’ouvre entre vous et votre banque. C’est un dialogue de professionnel à professionnel. Le dialogue et la communication sont donc de rigueur. Fournissez le plus régulièrement possible les informations nécessaires à votre banque, par exemple vos comptes de résultat, ou les éléments d’appréciation sur votre situation comptable. Elle doit comprendre le plus précisément la vie de votre entreprise ou de votre activité. Vous pouvez même l’informer de vos projets. Elle pourra vous soutenir, vous conseiller, voire vous prêter de l’argent pour des investissements.
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